Vastes forêts magnifiques et fortes,

Souvent elles m'emportent,

Pour y réfléchir mais infaillible ,

J'y reste sensible,

Je reste attacher avec mes pensées,

Cela me permet d'écrire parfois des choses insensées ,

Mais qu'ils restent une part de vérité,

Le murmure des oiseaux,

Réveille en moi une joie profonde,

Mais vous hêtres orgueilleux,

Sont bien plus durs que le fer,

L'horreur de ses cons sacrés vous environne,

Et que me lamente de le bruit de la mer,

Qui parfois nous emporte et je divague,

Mais de suite je reviens sur la plage,

Bien au bord de ce rivage,

Nul ne peut dire où je juche

Car souvent je trébuche,

Face au crépuscule qui recule,

Dans ce pays où je maraude ,

Je poursuis et je rôde,

Je rencontre quelques fleurs

Et là c'est un vrai bonheur,

Car la nature n'ett pas morte ,

Elles poussent au bord de ces chemins,

Et nos étangs s'étendent dans toute sa splendeur ,

Sur ce paysage monotone

Ça m'apporte un certain réconfort ,

Plus de peur et de frayeur que du bonheur,

De voir toutes ces couleurs ,

Je constate que les fleurs sont pleines de vigueur …….

Faut cette fois tourner cette page,

Quand l'amour est en marge

Et que ça me provoque du surmenage,

Mais il reste bien quelques mots,

Mais de l'écrire ça me donne des maux,

Mais les mots sont beaux,

Faut-il que je laisse une page blanche

Qui n'a peut d'importance,

Puisque tout le monde reste indifférent,

Je ne vois aucune subtilité ,

De barbouiller ce papier ,

Mais ça reste assez important,

Car il s'agit bien de mon image,

Mais je ne suis pas très à la page,

C'est très émouvant ,

De le constater constamment ,

Mais quand le cœur est poussé

Devant une telle réalité,

Je vois comment on peut s'imaginer,

Mais à l'attente de cet héritage,

Je pense que je peux attendre un moment ,

Mais je reste quand même en survoltage

Car il ne sert pas mon témoignage,

J'aimerais prendre un autre virage,

Mais il va me mener au désespoir final,

Parce qu'il a trop de magouillage ,

Et là il faut faire le triage,

Peut-être un massacre à la tronçonnage ,

Et qui peut donner un peu de trucage,

Mais avant un tel cafouillage ,

Et il y a même un surdosage,

Mais il faudrait faire une zone de filtrage,

Et là on peut voir le coupable,

Mais il faut de suite se mettre à la page ,

Car il faut éviter le débardage

Oui nous avons bien des témoignages,

De gens qui sont capables de s'en apercevoir,

Mais il y a comme une faille ,

Car il a des limites pour le stockage ,

Et on ne peut faire de miracle ,

Car tôt ou tard ils seront pris en menace ,

Et où qu'ils aillent,

Car ils sont capables de similaire des faux actes,

Alors il faut être plus adroite,

Qu'eux qui ne sont par à leur premier drame,

Vite alors faire une alerte de sauvetage ………….

Je revendique c'est mon droit le plus strict ,

Peut-être la liberté de choix,

Et l'expression de mes droits,

Mais c'est tout une théorie

Que j'applique mais ceci me fait rire,

Et bien sourire,

Le partage établi qui n'est pas toujours très accessible ,

Bon ça je crois qu'on est libre ,

Mais si les personnes sont pressées ,

Je pense quelles partent du mauvais côté ,

C'est une évidence mais je suis la seule à le voir,

Enfin si vous voulez bien me croire ,

Car ayant des amis j'ose entrevoir,

Qu'il reste une possibilité de s'entendre ,

Mais là je ne vais pas m'étendre

Car ce sujet me semble transparent,

Mais en attendant je sais que vous ne me comprenez pas,

C'est tout à fait normal je viens d'une autre planète

Qui n'est pas celle de la terre,

Oui je vis dans une autre atmosphère ,

Ça peut vous déplaire ou vous satisfaire,

Mais je ne fais pas de manières ,

J'interprète de façon assez claire ,

Vous constatez une certaine lumière ,

Dans certains de mes textes ,

Si vous prenez le temps de les lire ,

Ça ce n'est pas tout à fait proscrit ,

Mais toutefois la langue Française disons

quelle n'est pas banni ,

Elle fait partie d'une certaine académie ,

Qui je dois dire est une merveille ,

Même si je vois que la mienne n'est pas pareille ,

Mais sachez que je suis sincère ,

J'écris toujours ce que je pense même si ça blesse ,

Car la vérité vexe ,

Et là je sais très bien de quoi je suis capable ,

Mais seulement il ne faut pas me mettre à l'écart ,

En donnant comme prétexte ça ne m'intéresse guère ,

Alors aux gens qui sont pressés et envieux ,

Je vais leur dire qu'ils ne vivront pas vieux,

Oui je sais je ne manque pas d'audace

Mais je ne me voila pas la face …………..

Si je devais être ton prince charmant,

Pour moi ça serait satisfaisant ,

Et assez élégant ,

Mais là je rêve apparemment ,

Je pense que c'est une réalité,

Et c'est dans un autre domaine ,

Je dois répondre amen,

Je culpabilise tout le temps,

Des visions de bonheur qui me hantent ,

Et les gens parfois me stigmatisent ,

Mais cela me grise,

Mais je garde quand même le sourire ,

Je ressens des sentiments profonds ,

Mais j'hésite une seconde,

Car je veux redorer mon blason,

Mais je n'ai pas de nom,

J'ai bien un surnom,

Je vais essayer de saisir cette chance,

Elle n'arrive qu'une fois par an ,

Mais c'est ma conscience ,

Il vaudrait mieux que je fasse autre chose,

Avant que je n'explose,

Car ça serait si efficace,

Que je ne me regarde même plus dans une glace,

Car je voile ma face,

Pour éviter les regards,

Mais le monde est à l'envers ,

Et en plus ils me regardent de travers ,

Ils ne sont pas très clairs ni nets ………..

Plaisir n'est plus puisque je suis exclue,

Mais aime vivre avec douceur,

Chaleur et tendresse,

Parfois un peu de réconfort,

Qui met du baume au cœur ,

Surtout en cette période de froid ,

Où l'on cherche de la chaleur ,

Sans regret ni remord ,

Il aime aller dehors,

Voir la mer les vagues et le vent du nord ,

Dame m'a ôté d'une grande valeur ,

Cette heure qui était tournée en malheur,

Malheureux celui qui n'a aucun réconfort,

Il aime aller vers les gens ,

Pour apporter un rayon de lumière,

Qui malheureusement sans son soleil ,

Brille en son absence ,

Mais lui est toujours présent,

Quelque soit le temps ,

Il pleut il sort ,il neige il s'accroche

Il fait du vent violent ,

Là il se tient aux branches,

Puis arrive le silence ,

Plus un bruit,

Les gens dorment tranquille dans leur lit,

Et lui il erre la nuit ,

À la recherche d'un abri,

Que sa vie est triste ,

Il n'ose rien dire ,

Mais il est mort de froid quelle injustice ………….